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Il Était Une Fois

  • : Dire et Terre
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Comme l'a dit Françoise Dolto : "Tout est langage".
 Ici c'est mon langage artistique que j'ai envie de partager avec vous.
Mon dire et ma terre. Dire mes mots, mes émois et moi...

Il Y A Des Mois

27 janvier 2008 7 27 /01 /janvier /2008 22:06
 
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"Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après-midi, dès trois heures, je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux. À quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai, je découvrirai le prix du bonheur!"


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 Dialogue entre le renard et le Petit Prince :
  Antoine de St Exupéry
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commentaires

L
Ah ben oui. Evidemment que l'après c'est pire ! Rien que d'y penser j'en suis déjà malade.Dans mon premier com, je ne parlais pas encore de l'après. Juste de l'attente, l'impatience... comme tu  dis c'est à la fois excitant et frustrant, enfin pour moi, je suis une grande impatiente !!!Bref... que de moments merveilleux en perspective ;-)
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G
Oui, j'ai bien compris que tu ne parlais pas de l'après...  C'est bien cette attente, cette impatience que j'aime et pourtant je suis une grande impatiente aussi. Mais sûrement une grande maso aussi! :DL'après je n'y pense pas (en tout cas, j'essaie)... D'abord parce que ça ne sert à rien et puis parce que ça pollue le joli du présent. Et puis quand le moment a été vraiment joli, il nourrit encore l'après! Donc voilà...
L
Heu.... moi c'est pas dès trois heures que je commencerai d'être heureuse....  Bouhhhhhhhhhhhh j'ai horreur de cette attente qui fait que justement au bout on découvre le prix du bonheur !!!Parfois tant d'attente pour si peu te temps de bonheur.... que c'est dur.Bise
Répondre
G
Moi aussi, c'est bien avant que je commencerais d'être heureuse... Mais alors : J'ADORE cette attente : cette état d'excitation et d'impatience mêlée d'une euphorie grandissante : c'est un régal! Le bonheur qu'il y a au bout est un feu d'artifice et c'est vrai qu'on en mesure le prix lorsque malheureusement la personne ne vient pas, lorsque le projet capote. Je trouve que c'est parce qu'on a vu des projets tomber à l'eau que l'on connait le prix du bonheur, le bonheur de la rencontre, de la simple présence! C'est quand on sait que tout est éphémère, que rien n'est acquis, que personne ne nous appartient, que l'être aimé peut s'en aller d'un instant à l'autre que l'on arrive à savourer chaque seconde passée à ses cotés. Pour moi ce qui est dur c'est l'au revoir, la séparation mais pas l'attente des retrouvailles.Non, je pense pas du tout comme toi sur ce coup-là!Bise.